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Finalement je voyage

  • Photo du rédacteur: SZK
    SZK
  • 9 sept. 2022
  • 3 min de lecture

Depuis le COVID, le voyage n'a pas été facile. C'est seulement dans les derniers mois récents que les pays ont ouvert leurs frontières aux touristes. Pendant les mois de confinement à Sydney, et les moments de frustration qui l'a accompagné, je me suis souvent demandé ce que je veux de ma vie. Je me suis demandé si j'étais content où que j'étais, si ce que je faisais était bien ou non, si il y avait quelque chose qui me manquait et ce que je devais faire pour l'avoir. Toutes ces questions circulaient constamment dans ma tête.


J'étais pas content. Beaucoup de gens ont souffert à cause de COVID, et heureusement, je n'ai pas été trop touché. Je suis reconnaissant pour ça. Bien que j'ai perdu mon travail à cause de COVID, j'ai eu la bonne fortune de pouvoir survivre sans emploie pour une période de temps.


Cependant je n'étais toujours pas content. Le monde de voyage m’appelait et je me suis rendu compte que, au cas où il y aurait une variante de COVID plus sévère que ce qu'on a déjà vu, il fallait que je parte en outre-mer dès que ça soit possible. J'ai visé tous dans ma vie, depuis que j'étais enfant, vers une vie vécu en outre-mer, et j'utilise presque chaque moment pour réviser les langues. La possibilité d'être coincé en Australie pour le reste de temps m'a épouvanté à mort.


Au début de 2022, le B5 circulait mais le gouvernement d'Australie avait ouvert le pays et voulait que les peuples vivent avec le virus. L'aéroport était au bout de mes doigts ! J'ai parlé à mon partenaire pour lui dire que je voulais essayer de vivre et travailler ailleurs comme je l'avais fait en 2013 au japon. J'ai acheté mon billet d'avion et me voilà ! Je me suis assis dans l'appartement de mon frère d'âme en France.


Je cherche un travail en tant que professeur d'anglais ici en France, mais je suis ouvert aussi à l'idée de travailler en Allemagne ou en Suisse. Je m'inquiète un peu que je vais pas pouvoir recevoir un permis de travail en France, mais tout le monde me dit qu'un prof d'anglais est très convoité. Si c'est bien le cas, les entreprises vont sûrement m'aider à faire les démarches nécessaire pour que j'aie un permis de travail. Néanmoins, je suis un peu pessimiste.


Alors, j'ai pensé aux plans d'urgences. Si je suis pas accordé un permis de travail en France, j'ai entendu dire que c'est plus facile d'en être accordé un en Allemagne. C'est mon plan B. Et, si ça ne marche pas en Allemagne, j'ai récemment vu qu'il y a un accord entre la Suisse et l'Australie depuis début 2022 qui assure que c'est moins compliqué pour une personne de la Suisse ou de l'Australie d'aller vivre et travailler dans l'autre pays. Peut-être ça va m'aider !


Et bien sûr, si je trouve pas de boulot ici, je vais devoir sortir de la zone Schengen après 90 jours, et bien que ça ne serait pas du tout idéal, surtout pour mon budget, je pourrais tenter ma chance ailleurs au Royaume-Uni, au Monténégro ou en Serbie. La vie serait plus cher au Royaume-Uni, alors, peut-être les autres options serait mieux. En plus, j'adore le Monténégro. Et, si j'ai de la chance en trouvant un emploie là-bas, je vais pouvoir retourner dans la zone Schengen après 90 jours hors de zone.


J'ai plusieurs plans d'urgence - un d'entre eux va certainement marcher. Je dois être plus optimiste !

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